dangers des perturbateurs endocriniens.

Comment piéger les hormones « pirates » qui détruisent votre cerveau ?

Chers amis,

En 2017, plusieurs candidats à la présidentielle promettaient de faire des perturbateurs endocriniens une priorité de leur mandat, s’ils étaient élus.

Et voici où nous en sommes, quatre ans plus tard…

Les quantités d‘agents chimiques produits par l’industrie ont été multipliées par 300

La politique européenne à l’égard des pesticides patauge – quand ils sont finalement interdits, on les remplace ou on les « refourgue » aux pays pauvres…nous !

Et aujourd’hui, 800 substances sont toujours suspectées de détruire votre système hormonal et votre organisme tout entier5 :

  • elles peuvent avoir des conséquences directes sur vos fonctions intellectuelles ;
  • elles nous stérilisent à grande échelle – la concentration moyenne en spermatozoïdes a chuté de 32,2% en 15 ans chez les Français ;
  • elles déforment nos enfants – certains nouveau-nés naissent sans testicules;
  • on les soupçonne même de contribuer aux formes les plus graves de cancers.

Je vais être franc avec vous : vos problèmes de santé n’intéressent pas ces gens-là. Ce n’est pas leur problème :

Ce n’est pas le problème des géants agroalimentaires si vos proches s’empoisonnent avec des spaghettis gorgés de pesticides8.

Tout ce qui compte, c’est que les ventes de pâtes ont battu des records grâce au confinement l’année dernière, en générant un bénéfice de +107%.

Ce ne sera pas non plus le problème des laboratoires cosmétiques si l’on trouve du phénoxyéthanol stérilisant dans les shampooings « naturels ».

L’image du bio est tendance et rapporte beaucoup d’argent : 40 milliards de dollars en 2020… Ça aussi, c’est tout ce qui compte.

Les perturbateurs endocriniens sont partout, sont nocifs – tout le monde le sait – mais ils contribuent à générer du chiffre d’affaires.

Du « cash », comme disent les industriels.

Nous ne gagnerons jamais contre eux.

C’est triste, je vous l’accorde. Mais pour autant, tout n’est pas perdu.

Parce que le souci concernant les perturbateurs endocriniens, ce n’est ni leur absorption, ni leur inhalation.

Le vrai danger, c’est que nous avons toutes les peines du monde à les éliminer une fois qu’ils sont en nous.

Avec le temps, ils s’accumulent dans l’organisme, ont tendance à se stocker dans les graisses…

La seule option, c’est donc d’évacuer les perturbateurs endocriniens le plus vite possibleafin d’en limiter les effets sur l’organisme.

Et pour ça, je vais vous révéler une piste infaillible pour débarrasser durablement votre corps des agents toxiques accumulés.

Elle est encore totalement inédite en France.

Elle s’inspire d’une technique utilisée dans l’industrie nucléaire pour piéger les substances nocives dans l’organisme après une intoxication.

Et aujourd’hui, cette piste prometteuse est à mes yeux la seule capable de stopper le déluge d’agents chimiques qui s’abat sur vous au quotidien. 

100 000 tonnes de produits toxiques

 Déversés dans votre plateau-repas

La lutte contre les perturbateurs endocriniens, c’est un peu la politique du « Autant que nécessaire, mais aussi peu que possible ».

Et pour bien vous en rendre compte, voici un chiffre : 100 000…

Jusqu’à récemment, la France occupait la première place des pays européens utilisateurs de pesticides Les exploitations agricoles, les grandes surfaces, vos frigos sont infestés : de bananes abreuvées de chlordécone… vous risquez un cancer de la prostate de laitues imbibées de glyphosate… vous risquez un cancer du sang18-19 de pommes de terre gorgées de chlorprophame… vous risquez un cancer du foie Quand vous dégustez des fruits de mer, c’est même parfois pire : ils sont dépourvus d’organes filtrants et stockent les métaux lourds, sans jamais les éliminer. Souvent, les huîtres et les moules sont ainsi saturées en mercure, en plomb, en cadmium22. Et quand on pollue les sols puis les eaux, que reste-t-il après ? Du BPA dans les urines,  des pesticides dans les cheveux En 2016, une étude a mesuré la concentration en Bisphénol A – ou BPA, que l’on trouve dans les boîtes en plastique – dans l’urine de 900 français âgés de 18 à 74 ans. Les résultats ont montré qu’avec 1,97 mcg de BPA par litre, nous avions l’une des concentrations les plus élevées du monde23. Il y a deux ans, l’association Générations futures a même retrouvé des substances chimiques nocives dans les cheveux de Nicolas Hulot, de José Bové et de plusieurs représentants écologistes. Sans le savoir, certains stockaient jusqu’à 150 pesticides sur leur tête !! Voici comment ils sont arrivés là. Votre système hormonal a été piraté  Pour mesurer la nocivité des perturbateurs endocriniens, il est crucial de comprendre le rôle joué par d’autres substances dans l’organisme : les hormones. Ces dernières sont indispensables à votre équilibre interne: elles régulent le poids, déterminent les niveaux d’énergie, la température interne du corps elles maintiennent et stabilisent le taux de sucre dans le sang elles stimulent et régulent vos fonctions reproductrices elles contribuent au fonctionnement normal des muscles et des os régulent le sommeil, la digestion Pour ça, vos hormones sont d’abord produites par des glandes endocriniennes. Puis elles sont libérées dans le sang jusqu’aux cellules cibles d’un organe. Là, l’hormone « s’amarre » à la cellule grâce des récepteurs… Et lui transmet des signaux hormonaux qui déclencheront des mécanismes spécifiques comme la croissance, la reproduction, le sommeil, la faim ou l’humeur.
Mais quand des perturbateurs endocriniens – que nous inhalons ou ingérons – s’infiltrent dans l’organisme, ils « perturbent » cet équilibre. Et voici ce qu’ils font une fois qu’ils sont à l’intérieur. Accrochez-vous… Des petites filles de 4 ans transformées en femmes ? Les perturbateurs endocriniens sont capables de détraquer l’intégralité du système hormonal : ils interfèrent avec la production et la libération d’hormones au niveau des glandes endocrines. ils bloquent l’action des hormones, en les empêchant de se fixer aux cellules pour qu’elles délivrent leur message.
Ils peuvent même se faire passer pour une hormone et déclencher une action des cellules à la place d’une hormone originale, ce qui provoque de graves déséquilibres hormonaux. Des rapports font ainsi état de pubertés précoces chez des petites filles – certaines sont encore en crèche quand les premiers signes pubertaires apparaissent. Et encore, c’est loin d’être le pire… Peu à peu, votre q.i. dégringole ! Il y a une glande sur laquelle les perturbateurs endocriniens s’acharnent particulièrement : c’est la thyroïde. Pour commencer, les perturbateurs peuvent empêcher la fixation de l’iode sur la thyroïde. On sait pourtant que cet oligo-élément est un carburant indispensable au fonctionnement thyroïdien. La recherche a aussi montré que le brome – utilisé pour les mousses de sièges et les peluches d’enfants – possède une structure similaire à celle des hormones T3 et T4 de la thyroïde. Il usurpe ainsi leur identité, brouille les connexions entre la thyroïde et les cellules-cibles, endommage votre cerveau. De graves désordres peuvent apparaître. Notamment un déclin des capacités intellectuelles. Selon une étude de 2015, une baisse de 3.8 points sur le Q.I. des Français – imputée aux perturbateurs endocriniens – a été observée en à peine 10 ans ! Ces désordres provoquent également une altération progressive des fonctions cognitives, comme l’attention, la rapidité ou la mémoire. Vous déprimez, éprouvez des difficultés à vous exprimer. Et puis un jour, vous ne reconnaissez plus vos proches… Piégez ces perturbateurs comme des mouches  sur un pot de miel En médecine, il existe une technique qui permet de neutraliser une substance toxique dans l’organisme et de la rendre soluble pour qu’elle soit évacuée. On appelle ça une chélation. Le principe est simple : un agent « chélateur » va se lier à la substance nocive. Puis cette liaison donnera naissance à un complexe totalement inactif et non toxique, qui sera facilement éliminé par voie urinaire. Cette technique est si puissante qu’on l’utilise parfois dans l’industrie nucléaire pour purifier l’organisme après une intoxication aux métaux lourds. Dans la nature, certaines plantes sont aussi des agents « chélateurs » et agissent comme de véritables « aspirateurs à perturbateurs endocriniens ». Plusieurs études ont par exemple montré que le taux de mercure dans les urines augmente considérablement après avoir consommé de la coriandre. Auteur : Laurent Tessier. dirige depuis octobre 2019 Le Journal de la Médecine Anti-Âge.. ………………………………………………………………………………………………………….. Amicalement à vous ! Mustapha.L